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maia kowsky
1 mai 2017

"Storyboard"

 

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2014 "Storyboard" Une série de 20 travaux mixed-media, cm 45x55, qui s'inspire du langage cinématographique.

Peinture acrylique, collage, papier Japon, combustions, cliché original en zinc, élaboration digitale sur papier photo, timbre numérateur, dactylo, papier journal.

 "Il y a plusieurs années que dans une vieille boite dans mon atelier, dormaient des vieux clichés en zinc que j'avais trouvé chez un brocanteur. Ces clichés, plaques métalliques en relief à partir des quelles on pouvait tirer un grand nombre d'exemplaires d'un dessin, d'une gravure ou d'une photographie, utilisés pour les illustrations des magazines ou des journaux, remontent aux années 50'-60.

Voilà donc mon petit trésor retrouvé, dans la vielle boite oubliée. Comme un enfant qui retrouve un vieux jouet, tout un univers s'est ouvert à mes yeux. Sur les clichés, des images magiques, des scènes de cinéma, des portraits d'actrices, d'acteurs, d'artistes, des personnages inconnus, des reproductions de tableaux   des instantanés de chroniques journalistiques. Tout ce petit monde en blanc et noir, doux, bigarré et précieux, est devenu"Storyboard".

©  Francesco Pagni 

 

Lire aussi : Rosso Venexiano de Rinaldo Ambrosia

"...dans cette histoire la couleur va sur la pointe des pieds et finit en crescendo, brise l'espace. L'artiste Francesco Pagni couvre intentionnellement des images cachées, ou révélées, coagule des fragments de journaux, des lignes qui contiennent des récits, des chroniques. Il y a équilibre d'un parcours historique sur ces images d'impression. Les échantillons, des bandes similaires à celles de la bande dessinée; strictement dans ces espaces communs des histoires prennent vie, se révélant à l'observateur. Ici coule la liberté de l'artiste dans toute sa poétique avec l'intervention, des rayures, déchirures notations numériques et des touches de couleur. {...} Le temps est donc suspendu. Sur une fusion de différents matériaux de papier, la bulle existentielle des sujets - leur vie - devient une image poétique qui dépasse l'œuvre, qui est exempte de la simple représentation et assume sa propre dimension...

Microstory, livré sur des fragments de papier où le début est donné par l'artiste, mais l'histoire se détache et continue de se déplacer à l'intérieur de nous." (Rinaldo Ambrosia)

 

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